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Les Désarmés, Mezzo & Michel PIRUS – Critique de BD

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Rappel : Nous vous donnons rendez-vous ce vendredi 27 mars 2015 à la librairie La Petite Bulle à Lyon à partir de 14h pour une séance de dédicace de Love in Vain avec MEZZO & Jean-Michel DUPONT ! Vous pourrez trouver de nombreux titres de MEZZO sur place notamment : Les Désarmés ! Je profite donc pour en faire un petit commentaire sur cette BD que j’ai adoré !

Sortie en mai 2010, l’intégrale de chez Drugstore compile les deux tomes de cette série. Mezzo est au dessin et Michel Pirus au scénario pour un road-trip/polar western bien prenant.

Synopsis :

Désert du Texas, États-Unis. Trois fugitifs blessés se crashent dans une voiture de flics volée.

Flashback, 48 heures plus tôt. Jack Farell revient à Crystal, la ville de son enfance. Ses poches sont vides, ce qui est plutôt regrettable puisqu’il était parti quelques années plus tôt avec l’idée de faire fortune dans le Nord. Pour revenir voir sa mère la tête haute, il décide d’organiser le braquage de la banque de Crystal. Mais sa famille de tarés, le shérif véreux et les mafieux du coin vont transformer ce petit casse sans envergure en massacre…

Mon Avis :

On alterne entre l’action présente et des flashback 48h avant les faits. Tout se passe en Amérique, un braquage de banque dans la petite ville de Crystal. Le braqueur est reconnu par le shérif, un ancien gamin du village dont la mère habite en bordure … Mais le shérif ne cherche pas à l’arrêter, il veut juste récupérer le cash du braquage. Corrompu jusqu’à la moelle et trempant dans des combinent de la mafia locale, ce shérif est à l’image de toute la population de cette BD. 48h haletantes où l’on passe des appartements de la mafia où se trame un casse pour se retrouver dans un road-trip avec le Mexique comme Eldorado.

Un scénario génial et le style graphique de Mezzo qui va si bien avec le sujet. J’aime ces gueules cassés, ces hommes aux visages torturés autant qu’ils sont corrompus. Ce paysage qui oscille entre western de Cowboy et braquage « classique » de banques dans des grosses villes par la Mafia. Et le tout en mouvements, jamais l’action ne cesse, nous sommes comme dans un film.

Du sang, des guns et pleins de dollars, une histoire de pourris qui plaira aux amateurs du genre !

C’est un coup de cœur pour ma part !

Et c’est l’occasion d’étrenner nos smileys ! 
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